{"id":16978,"date":"2025-03-27T12:25:02","date_gmt":"2025-03-27T11:25:02","guid":{"rendered":"https:\/\/www.dp-institute.eu\/?p=16978"},"modified":"2025-03-27T12:25:02","modified_gmt":"2025-03-27T11:25:02","slug":"q1-2025-stay-tuned-take-aways","status":"publish","type":"post","link":"https:\/\/www.dp-institute.eu\/fr\/q1-2025-stay-tuned-take-aways\/","title":{"rendered":"Q1 2025 Stay Tuned: take aways"},"content":{"rendered":"
Le premier trimestre de Stay Tuned<\/strong> en 2025 est d\u00e9j\u00e0 termin\u00e9 ! Dans cinq lieux diff\u00e9rents, en fran\u00e7ais et en n\u00e9erlandais, plus de 300 DPO<\/strong> ont \u00e9t\u00e9 mis \u00e0 jour sur les derni\u00e8res \u00e9volutions en mati\u00e8re de protection des donn\u00e9es. Quels sont les points qui nous ont le plus marqu\u00e9s ?<\/p>\n C\u2019est presque une question philosophique : qu\u2019est-ce qui est r\u00e9ellement n\u00e9cessaire ?<\/strong> Une r\u00e9flexion que les DPO<\/strong> devront encore plus se poser \u00e0 l\u2019avenir, comme l\u2019a soulign\u00e9 l\u2019arr\u00eat Mousse<\/strong> de la Cour de justice de l\u2019Union europ\u00e9enne (CJUE). Celui-ci a statu\u00e9 que l\u2019utilisation des titres de civilit\u00e9<\/strong> (Monsieur, Madame) n\u2019\u00e9tait pas n\u00e9cessaire pour une communication commerciale. Et ce n\u2019est pas la seule affaire o\u00f9 la notion de n\u00e9cessit\u00e9<\/strong> a \u00e9t\u00e9 mise en avant ces derniers mois. Pour le DPO<\/strong>, la question du \u00ab\u00a0pourquoi\u00a0\u00bb<\/strong> reste donc essentielle !<\/p>\n Ou plut\u00f4t : collectivement<\/strong>. Un terme de plus en plus populaire aupr\u00e8s des autorit\u00e9s de protection des donn\u00e9es<\/strong> et de la CJUE<\/strong>, qui tendent \u00e0 conclure \u00e0 des situations de responsabilit\u00e9 conjointe<\/strong> en mati\u00e8re de traitement des donn\u00e9es. C\u2019\u00e9tait notamment le cas dans l\u2019affaire Freedelity<\/strong> de l\u2019APD belge. Et qui dit responsabilit\u00e9 conjointe<\/strong>, dit accord de responsabilit\u00e9 conjointe<\/strong>. Qui parmi vous a d\u00e9j\u00e0 un bon mod\u00e8le pour cela ? Et qui arrivera \u00e0 placer ce mot de 56 lettres<\/strong> sur un plateau de Scrabble ?<\/p>\n Le droit d\u2019acc\u00e8s<\/strong> est une pierre angulaire de la protection des donn\u00e9es : c\u2019est le moyen par lequel une personne concern\u00e9e peut v\u00e9rifier la lic\u00e9it\u00e9 du traitement<\/strong> de ses donn\u00e9es. Mais si une organisation souhaite limiter<\/strong> ce droit, il faut pouvoir justifier clairement cette restriction. C\u2019est justement l\u00e0 o\u00f9 certaines entit\u00e9s ont \u00e9chou\u00e9 ces derniers mois, notamment un service de pr\u00e9vention externe<\/strong>, un officier de s\u00e9curit\u00e9<\/strong> et un m\u00e9diateur<\/strong>. Il est possible de restreindre<\/strong> ce droit, surtout s\u2019il porte atteinte aux droits d\u2019autres personnes, mais encore faut-il avoir un motif solide<\/strong>.<\/p>\n Les autorit\u00e9s semblent enfin ma\u00eetriser la recette<\/strong> : proposer imm\u00e9diatement une option d\u2019acceptation et de refus<\/strong>, \u00e9viter les astuces de couleurs et de tailles de boutons<\/strong> qui poussent les utilisateurs \u00e0 cliquer sur \u201cAccepter !\u201d et garantir une r\u00e9vocation facile du consentement<\/strong>. Pourtant, chaque autorit\u00e9 garde son propre go\u00fbt : l\u2019autorit\u00e9 autrichienne<\/strong> va m\u00eame jusqu\u2019\u00e0 mesurer l\u2019alignement et la taille des boutons<\/strong>. Si un cookie peut para\u00eetre anodin, chaque DPO<\/strong> doit s\u2019assurer que son organisation respecte bien les r\u00e8gles, car l\u2019app\u00e9tit des autorit\u00e9s de contr\u00f4le semble loin d\u2019\u00eatre rassasi\u00e9.<\/p>\nQu\u2019est-ce qui est vraiment n\u00e9cessaire ?<\/h3>\n
Ensemble, c\u2019est mieux !<\/h3>\n
You shall not pass !<\/h3>\n
Quelle est la meilleure recette pour les cookies ?<\/h3>\n